Unité 10.2 - La septième du deuxième degré - Seconde Partie
Seconde partie du cours sur l'accord de septième du deuxième degré. Vous y trouverez une présentation du troisième renversement de l'accord de septième deuxième degré, chiffré 2, et de sa grande importance dans l'écriture.
6 commentaire(s)
Par babalours, écrit le 03/12/2021 à 19h30un bel accord fa do lab fa puis fa sib reb sol puis mib reb sib sol et enfin lab mib do lab
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Par Dragko, écrit le 07/06/2019 à 14h20Bonjour,
Dans la vidéo vous parlez d'un répertoire d'exemples d'enchainements que vous aviez prévu de publier sur le site. Avez vous abandonné l'idée ?
Cordialement,
Dans la vidéo vous parlez d'un répertoire d'exemples d'enchainements que vous aviez prévu de publier sur le site. Avez vous abandonné l'idée ?
Cordialement,
Par admin, écrit le 08/06/2019 à 12h02Bonjour,
non, je n'ai pas abandonné l'idée. Il est en effet important d'avoir en tête un certain nombre d'exemples, dont le nombre croît avec le temps. Ces exemples permettent d’approfondir la connaissance de tel ou tel élément musical. J'ai commencé avec les livres où je donne certains exemples, puis dans le fascicule en cours d'écriture, sur les accords de sixte augmentée. Ceci est un début, j'envisage par la suite de réunir ces exemples dans un recueil, mais cela prendra du temps. J'invite tout un chacun à constituer son propre répertoire, et partant des exemples que j'ai déjà fournis, par exemple dans le quatrième chapitre des vidéos, ou dans les TD et des analyses, notamment Beethoven sur le site, et à l'enrichir au gré des lectures de texte.
Je poursuis donc le travail...
Merci de votre intérêt pour mon travail!
bien cordialement
Jean-Louis Fabre
non, je n'ai pas abandonné l'idée. Il est en effet important d'avoir en tête un certain nombre d'exemples, dont le nombre croît avec le temps. Ces exemples permettent d’approfondir la connaissance de tel ou tel élément musical. J'ai commencé avec les livres où je donne certains exemples, puis dans le fascicule en cours d'écriture, sur les accords de sixte augmentée. Ceci est un début, j'envisage par la suite de réunir ces exemples dans un recueil, mais cela prendra du temps. J'invite tout un chacun à constituer son propre répertoire, et partant des exemples que j'ai déjà fournis, par exemple dans le quatrième chapitre des vidéos, ou dans les TD et des analyses, notamment Beethoven sur le site, et à l'enrichir au gré des lectures de texte.
Je poursuis donc le travail...
Merci de votre intérêt pour mon travail!
bien cordialement
Jean-Louis Fabre
Par Dragko, écrit le 08/06/2019 à 12h13Alors courage pour cette vaste entreprise et bravo pour tout ce que vous avez déjà entrepris !
En grande partie grâce à vos cours je passe à la rentrée un concours d'entrée pour un COA écriture au conservatoire et je revisionne à l'occasion une grande partie de vos vidéos dans lesquelles je découvre avec bonheur une richesse plus large encore que lorsque je les ai découvertes. Avec le recul que j'en ai dorénavant, j'y comprend des notions, des remarques, des parenthèses comme vous les appelez, qui m'avaient alors échappé.
Votre passion est définitivement communicative...
Cordialement,
En grande partie grâce à vos cours je passe à la rentrée un concours d'entrée pour un COA écriture au conservatoire et je revisionne à l'occasion une grande partie de vos vidéos dans lesquelles je découvre avec bonheur une richesse plus large encore que lorsque je les ai découvertes. Avec le recul que j'en ai dorénavant, j'y comprend des notions, des remarques, des parenthèses comme vous les appelez, qui m'avaient alors échappé.
Votre passion est définitivement communicative...
Cordialement,
Par Jean-Louis Fabre, écrit le 04/01/2016 à 08h08Bonjour,
merci pour ce vif intérêt que vous portez aux vidéos.
Je pense très important de donner l'habitude de respecter, surtout au début des études d'écriture, la non doublure de la basse de l'accord de sixte (on trouve cet élément dans de nombreux exercices publiés, notamment ceux de Challan, qui sont excellents), mais attention, ce n'est pas une règle absolue: il suffit d'observer les accords de sixte dans les quatuors de Haydn par exemple, pour trouver un certain nombre d'exemples contraires. Je ne reviendrais pas ici, ce serait trop long, sur le bien fondé qu'il y a à étudier et pratiquer l'accord de sixte avec basse non doublée. Cependant, il faut le dire, ce n'est pas une règle absolue.
A propos de l'exemple que je donne, le statut passager de l'accord de sixte justifie parfaitement la doublure de basse. L'intérêt musical de l'enchaînement est l'immobilité (particulièrement chez Vivaldi où le sommeil est évoqué): une seule voix bouge, le sol devient la. Il aurait été vraiment dommage de modifier l'écriture pour se conformer à une règle qui encore une fois n'est pas absolue. Et puis les deux accords centraux s'inscrivent entre le premier (do sol do mi)et le dernier (do la ré fa)et leur rôle est de constituer des étapes (une modification, puis une deuxième, enfin la troisième). Modifier l'accord de sixte n'aurait pas convenu au but recherché.
J'espère vous avoir éclairé.
Encore merci
Bien cordialement
Jean-Louis Fabre
merci pour ce vif intérêt que vous portez aux vidéos.
Je pense très important de donner l'habitude de respecter, surtout au début des études d'écriture, la non doublure de la basse de l'accord de sixte (on trouve cet élément dans de nombreux exercices publiés, notamment ceux de Challan, qui sont excellents), mais attention, ce n'est pas une règle absolue: il suffit d'observer les accords de sixte dans les quatuors de Haydn par exemple, pour trouver un certain nombre d'exemples contraires. Je ne reviendrais pas ici, ce serait trop long, sur le bien fondé qu'il y a à étudier et pratiquer l'accord de sixte avec basse non doublée. Cependant, il faut le dire, ce n'est pas une règle absolue.
A propos de l'exemple que je donne, le statut passager de l'accord de sixte justifie parfaitement la doublure de basse. L'intérêt musical de l'enchaînement est l'immobilité (particulièrement chez Vivaldi où le sommeil est évoqué): une seule voix bouge, le sol devient la. Il aurait été vraiment dommage de modifier l'écriture pour se conformer à une règle qui encore une fois n'est pas absolue. Et puis les deux accords centraux s'inscrivent entre le premier (do sol do mi)et le dernier (do la ré fa)et leur rôle est de constituer des étapes (une modification, puis une deuxième, enfin la troisième). Modifier l'accord de sixte n'aurait pas convenu au but recherché.
J'espère vous avoir éclairé.
Encore merci
Bien cordialement
Jean-Louis Fabre
Par Jean , écrit le 19/12/2015 à 13h48Bonjour,
Bravo pour ces magnifiques leçons que je suis avec un grand intérêt.
J'ai une question concernant cette vidéo: dans l’enchaînement que vous présentez aux alentours de la 10e minute (celui qui est présent en ré chez Vivaldi), dans le deuxième accord, celui de la mineur la basse est doublée à l'alto. Or c'est un accord de sixte, qui n'est pas un deuxième degré. je croyais que l'on ne devait pas doubler la basse dans l'accord de sixte. Est-ce une exception dû à la pédale de do?
Merci encore pour toutes ces vidéos.
Cordialement.
Bravo pour ces magnifiques leçons que je suis avec un grand intérêt.
J'ai une question concernant cette vidéo: dans l’enchaînement que vous présentez aux alentours de la 10e minute (celui qui est présent en ré chez Vivaldi), dans le deuxième accord, celui de la mineur la basse est doublée à l'alto. Or c'est un accord de sixte, qui n'est pas un deuxième degré. je croyais que l'on ne devait pas doubler la basse dans l'accord de sixte. Est-ce une exception dû à la pédale de do?
Merci encore pour toutes ces vidéos.
Cordialement.
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